Nouvelle classe, nouvelle école
Vous l’avez senti, c’est la fin de l’été, et même s’il a été un peu court cette année, il est grand temps qu’il se termine pour de bon. J’attendais avec impatience la fin de cette période trop floue et trop chaude qu’est le mois d’août.
Je vais sans doute passer pour une rabat-joie, mais chaque été c’est la même chose. Je rêve de plus de pudeur. Je voudrais voir moins de seins, moins de cuisses, moins de mollets, moins d’orteils. Revenir à l’érotisme d’un chemisier en soie à peine transparent, à la sensualité d’une paire de bas en soie, au choc électrique que peut procurer le talon d’une bottine… Je voudrais voir passer un homme qui remonte la fermeture de son gilet jusqu’en haut, et me demander ce que ça me ferait de la lui redescendre jusqu’en bas.
J’ai toujours aimé la rentrée. J’attendais de découvrir ma nouvelle classe, ma nouvelle école, de mater les nouveaux et les nouvelles, de me demander quelle langue finirait dans ma bouche à la sortie du cours de maths ; puis fapper le soir en rentrant, en repensant à cette fille qui mettait son stylo dans sa bouche, ou au nouveau prof de philosophie qui m’a promis une punition parce que j’avais bavardé. Aujourd’hui je me délecte de l’effervescence que la rentrée amène, et je l’avoue, en vrai nerd du premier rang j’ai la nostalgie de l’odeur des cahiers neufs et des salles de classes.
C’est peut-être pour ça que mon truc, c’est l’étudiante en uniforme. La schoolgirl avec sa traditionnelle jupe écossaise, des chaussettes blanches, et pourquoi pas la cravate. J’ai cru au paradis quand j’ai découvert les Russian Institute, et je ne saurais dire combien de fois j’ai… j’ai.
L’idée de jeunesse éternelle sans doute, d’innocence feinte, de transgression des règles. Trop classique diront certains… A ceux là je recommande chaudement le Russian Institute : Gang Bang rien que pour la scène de l’orgie lesbienne avec vinyle et gode ceinture (merci Marc !).
La vidéo qui suit est quant à elle extraite des Young Harlots, la vision un poil plus hardcore des schoolgirls du studio Harmony. J’y retrouve tous les codes qui me rassurent : des faux profs en vraie veste de tweed, une étudiante en couettes qui suce une Chupa-Chups à la cerise (si, si) mais aussi toutes les incohérences qui font le porno : un décor incompréhensible, une actrice à la manucure qui ferait peur même à Lady Gaga, qui a enfilé un collant résille par-dessus des bas (redondance de nylon inutile), et ne parlons même pas de la musique… Pourtant, sur moi ça marche. Dès le premier clin d’œil foireux, je suis dedans. J’ai envie d’être à la place de Mélanie et à celle de Yanick en même temps. D’être tour à tour professeur dominant et élève faussement soumise. Le reste, c’est en effet du classique.
Vive la rentrée.
Notez que la qualité de la vidéo laisse un peu à désirer, mais vous avez la ref si vous voulez de la HD pour égayer votre rétroprojecteur, ndlr
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