Les gifs de la semaine #257
Blowjob, DP, premier émoi lesbien, voici les gifs de la semaine présentés par votre dévouée Manon des Sources. N’ayez crainte, je ne vais pas commencer à parler de moi à la troisième personne. Juste une petite envie de vous rappeler que vous allez vous amuser en ce dimanche pluvieux (oui bon, ok, seulement dans le nord-ouest) face à un condensé d’images qui ne vont pas seulement s’animer sous vos yeux mais aussi dans votre esprit et vos fantasmes.
On ne commence pas en douceur cette semaine. Grosse gorge-profonde et gagging sont au rendez-vous du côté des Hoby Buchanon. Rien à voir avec le pays du Bouchonnois où l’ouverture de la chasse fait quelques envieux. En même temps, l’amateur de l’amateur devient chose rare, il est de plus en plus difficile à trouver. Comme dirait l’autre : « l’amateurisme c’est une communion avec la nature du porn, c’est un contact avec dame nature lorsque l’aurore darde ses rayons d’argent à travers les écharpes de brume. »
Petit moment confession en voyant ce gif. Alors seulement âgée de huit ans, je me laisse bouger des hanches devant les clips TV qui passaient sur M6 avant le Hit Machine du samedi présenté par Charly et Lulu. Le son de la pluie commence à prendre de l’ampleur dans les enceintes et le refrain commence : « All the things she said« . Les deux chanteuses se tiennent la main sous un tonnerre de regards et de jugements. Leurs bouches s’approchent dangereusement et voilà qu’apparait au fond de mon ventre mon premier émoi lesbien. Les chemises blanches, les jupes courtes et tous les fantasmes d’écolières me donnent instinctivement un coup de chaud sur mon île de Lesbos là où il ne pleut que des larmes de jouissance.
Lumière tamisée, contraste à bloc et DP dantesque, bienvenue chez Pure Taboo. La maison offre une petite jeunesse au porno mainstream en proposant des court-métrages entièrement scénarisés sur fond de thriller. Dans cet extrait, une sale histoire de crise d’adulescence et de mannequin en plastique. Deux hommes perdus – Seth Gamble et Xander Corvus, sont obligés de subir une sacrée scène de squirting et de pénétrer à double sens la sulfureuse Kristen Scott. J’vous l’dis, c’est plus ce que c’était la jeunesse prude américaine.
Toujours le bon angle, le bon endroit et le bon coup de langue pour satisfaire ses partenaires, Owen Gray fait encore des siennes. En d’autres termes, l’américain n’arrête pas de nous faire rêver. Si bien que Cali (Carter), parfaitement calée sur sa chaise haute, n’a pu que repenser à ce qu’elle chantonnait à son mari hier : « Quand je fais l’amour avec toi, je pense à lui. Quand je fais l’amour avec lui, je ne pense plus à toi. » Normal. En tout cas, c’est ce qu’elle m’a dit.
Après un passage éclair des Pussy Riot sur le terrain de la finale de la coupe du monde, retournons voir ce que nous disent les femmes masquées (ohé-ohé). Du côté de Drown in Sex, l’appel du massage buccal à crier plus fort que les membres du groupe punk. On commence tout en bas, quelques coups de langue par-ci, par-là et la remontée peut s’opérer en toute sérénité. A la semaine prochaine ! Love xxx
Image en une : Merry Pie
Quel talent dans l’écriture