Woodrocket, roi de la parodie XXX
Depuis un bout de temps, WoodRocket s’est imposé comme le studio le plus créatif, à l’origine des plus célèbres parodies porno de ces dernières années. Tout ce qui passe par la tête du studio se transforme en porn, Futurama devient Fuckurama et la carrière de Bill Murray est un super prétexte pour shooter des meufs à poil. Le studio repousse un peu plus la frontière qui sépare le lol et le porn, et c’est bien ce qui a poussé The Daily Beast à s’intéresser à un de ses créateurs.
Le fondateur de cette entreprise porte le petit nom de Lee Roy Myers et nous fait partager son génie dans Game of Bones, et plus récemment Bob’s Boner. Si on mate la cote de popularité du porn parodique, le dernier regain d’intérêt correspond à peu près à la carrière de Myers. Après avoir travaillé dans les médias mainstreams, le bonhomme a commencer sa trajectoire pleine de malice en cuisinant un The Office à la sauce porn pour New Sensation. Fondé il y a 3 ans par Myers et deux autres de ses potes, WoodRocket tient à sa petite indépendance : il paye tout ce qui est sur le site, de la production à la licence.
Malgré un traffic moindre par rapport aux gros tubes comme Pornhub, les médias sont au garde à vous à chaque nouvelle production annoncée. Le public aussi répond présent et n’est pas frileux pour relayer l’info, comme un porn qu’on assume et qu’on partage. Le rire est rassembleur, WoodRocket a bien compris cette maxime en y ajoutant une bonne dose de porn, histoire de féderer encore plus. Reste la question de la possibilité de branlette sur du rire ? Pour Lee Roy Myers, il semblerait que oui, mais au final, il s’en tamponne un peu. Il veut simplement continuer à creuser son petit filon avec ses partenaires. Cet accro au cinéma et à la télévision qui mélange les deux choses les mieux partagées du monde, le rire et le sexe, tient peut-être les deux inconnues de l’équation du porn du futur.
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