Satushi : Mr Freeze
Quand Gonzo m’a proposé de piger encore une fois pour le tag, je me suis pas vu refuser. Ok, je peux pas en parler à ma daronne (quoiqu’elle lit peut-être Snatch), et je peux pas non plus le mettre sur mon CV (quoique, si jamais j’veux bosser chez Sexactu…), mais c’est au moins la certitude d’avoir le beurre et le cul de la crémière. On travaille sur le Japon, il m’a dit, Adult Empire, c’est un site de niches, et un repère de chiennes. Personnellement, je ne me voyais pas foutre les tripes dans le cambouis à regarder des Octopussy, alors je me suis lancé sur Time Machine.
Le nom est assez évocateur, même si y’a pas vraiment de voyage dans le temps. Le concept est simple, clair comme la cyprine. Un type a la possibilité d’arrêter le temps et donc d’en prendre du bon. J’ai téléchargé les cinq films à disposition, sorti ma queue et mon cahier, parce que je suis un mec sérieux, et puis j’ai lancé le truc. C’est en gros, parce que ça marche pour les 3 que j’ai matés, un looser qui se retrouve avec un chronomètre magique, parce qu’il l’a commandé sur un internet, ou parce qu’un lutin qu’il a aidé lui a donné, chronomètre qui, donc, lui permet d’arrêter le temps.
Evidemment, il s’en donne à cœur joie, et ça permet au réal de nous passer en revue les tags qui font kiffer les japs : #uniform (banque, hôpital, employées de bureaux, écolières, serveuses), #hair, #bitch et #money, #fetish, #teens, avec cette scène où notre héros s’envoie avec une #barelylegal en pyjama rose qui m’a fait regretter toutes les fois où j’avais taggé #teen et #amat. Mon correcteur orthographique s’affole.
Comment ça se passe alors ? Par exemple, Satushi avec son chrono tout beau tout neuf se pointe à la banque. Là, misère, y’a un braqueur. Satushi se marre comme un bouffon, le braqueur se vénère, et quand il lui pointe son gros gun (bien plus gros que la queue de Satushi, soit dit en passant) sur la tempe, Satushi arrête le temps. Audacieux, il lui fait bouffer une feuille (véridique), lui prend son flingue, passe derrière le comptoir. Là, il bouffe quatre cinq tétons et caresse un clito, à travers la culotte sinon c’est pas drôle. C’est à ce moment-là que je t’arrête dans ta plainte pour te dire, après Gonzo, que de toute façon, c’est ça ou doigter un Rubik’s cube, donc finalement ça revient au même. Donc Satushi commence à bien s’amuser, il peint sur la gueule du directeur, le colle avec sa secrétaire, les réveille, ils baisent, tout va bien, ils sont plutôt contents, puis Satushi nous prend une secrétaire, dans une belle levrette, soyons honnêtes, mais elle est réveillée là. Les cris japonais sont un peu chelous, je sais pas si elle kiffe où si elle a peur ou si elle a mal au début, je soupçonne le tag #rape mais finalement ça a l’air d’aller plutôt pas mal et elle ne pose pas de questions qui fâchent. Satushi fourre des billets dans les culottes et, comble de réalisme, pour rouler des pelles, il leur sort la langue de la bouche avec les doigts et la fait bouger. Puis avec ses petits bras, il les met tous dans la salle d’attente dans un joli ballet #foutlamerde, et se casse avec la valoche de biftons. Il les réveille et là ils ont tous l’air surpris comme des connards, même ceux qui viennent de se rendormir après avoir pris ou mis leur tarif.
Il trouve des putes, commence à faire le malin avec son biff puis finalement arrête le temps parce que c’est plus simple comme ça, et quand il a fini, carre un mikado dans le cul de l’autre pseudo richard, et se casse. Le coup du biff et du richard c’est un truc qu’il aime vu qu’on le retrouve dans un autre des films. Ensuite il va baiser sa gosse. Classiquement, et sans surprise, le schéma est un peu toujours le même avec une scène d’uniforme, une meuf ou deux dans la rue qu’il tripote (y’en avait une vraiment surbonne), puis il tombe sur 5 meufs qu’il fout à poil doucement (au sens propre du terme, oui oui, il y a une scène épique de coupe de poils pubiens), ou plus brutalement, leur lèche les einss et les doigte, parfois avec ou sans Rubik’s cube, il rigole avec une ou deux culottes, comme cette fois où, goguenard, il en enfile une sur le visage de sa propriétaire, bref du bon japorn quoi. Ah, et puis, quand même, il en tronche une qui, elle, ne dort pas. Mon plus grand regret ? Qu’il ne se tape pas la croupière qui avec une ou deux de ses copines m’a fait changé d’avis sur les japs. Même si j’suis toujours pas aussi fan d’elles qu’R-Kelly de ma petite sœur.
On sait que les japs n’ont aucune limite, et ce surtout en matière de porn, et j’apprends rien à personne. Ici c’est relativement izi, j’t’avoue que le seul truc qui m’ait vraiment surpris, le seul truc gangsta, c’était le coup de la paille dans la teuch, ah, et puis aussi cet écolier qui baignait et se roulait avec un plaisir non dissimulé dans ce qui semblait être une mare de mouille sortie de nulle part qui a appelé le tag #katrina. Les meufs, elles, sont un peu décharnées, elles ont un bon tag #junkie.
A la base, je trouvais le concept de cette série de films assez prometteur. Ouais, ce côté voyeur tirait sur ma corde sensible, faisait vibrer mes veines, si tu vois ce que je veux dire. On y a tous déjà pensé, la #meufbonne dans le métro, avec un chrono pareil, elle se barrerait pas dans la direction opposée en me laissant avec un clin d’œil à agripper ma barre. On s’est tous dit au moins une fois qu’on aurait dû tirer sa copine et pas elle. C’est sur les souvenirs des regrets et de la curiosité que ce porn joue, c’est un porn malicieux, parce que oui, si j’avais ce truc en main, est-ce que j’oserais jurer que je ne l’utiliserai pas ? Que nenni. Alors ouais, j’étais vraiment parti la fleur au fusil et la bite à la main, prêt à pardonner le fait que Satushi se mette les doigts dans le nez et les sautements d’un fichier qui faisait l’effet de la mauvaise coke, à moins que ce ne soit la descente d’alcool. Mais le fait est que j’ai du m’arque bouter, j’ai du y mettre toute ma bonne volonté, m’y prendre à une, deux, trois fois, et à deux mains pour finir comme il fallait, oscillant entre la demi-molle et pas grand-chose de plus pendant mes deux heures de visionnage.
Contrairement à un POV qui surpasse sûrement tout le reste en matière de porn, contrairement à ces bons films amats où c’est ta meuf, toi qui la fait crier et ce pour de vrai, ou presque, dans Time Machine, on a des meufs sous pentothal qui n’émettent pas un bruit, ne font pas un geste alors même qu’elle se font manger le clito ou ramoner, et je veux bien que Satushi n’ait pas l’air expert mais quand même, là, c’est même plus du #rape, c’est du #ghb. Que les meufs se fassent baiser par des bots, ok, mais baiser des bots, des poupées en plastoc à l’air bovin, des automates endormis, non merci, ça me fait autant d’effet que de me branler dans une tasse. Mais si y’a bien une chose que Time machine confirme, c’est qu’il n’y a pas mieux que le japorn pour mettre en scène tous nos fantasmes inavouables. Et pour ça, merci.
Personnellement, j’ai une grosse faiblesse pour ce type de japoniaiseries ; c’est que si on se tape le film en intégral, ça doit être assez lassant, lassant. Je préfère en rester aux extraits qui flottent ça et là sur la toile – ou même simplement quelques photos.
C’est du porno conceptuel.
J’ai un gros faible dans la série « time fuck bandits » pour l’épisode en convienent store.
Jeunes amis branleurs, bonsoir, l’idée de geler le temps dans un supermarché pour des motifs sexuels inavouables m’est venu dès mes 12 ans, il y en a donc 80, et le premier à l’avoir mis sur film n’est pas ce japonais impuissant de plus qui ne peut jouir que de femmes droguées, bâillonnées, désespérément silencieuses ou attachées, humiliées et violées mais un jeune anglais beaucoup plus romantique et drôle, et donc finalement bien plus bandant et qui employa d’ailleurs le premier au cinéma une pinup anglaise mythique pour son buste parfait, j’ai nommé Sean Ellis dans Cashback (http://www.imdb.com/title/tt0460740/) que j’encourage les amteurs de ce genre à découvir donc mais avec une attente plus douce.
PS: super site qui manquait depuis longtemps.