Alexis Texas, c’est mon Amérique à moi
Bouli, bouli, bouli, bouli. Alexis Texas arrête un peu ton scandale, je t’en supplie. Ce cul j’ai envie d’y faire ma maison, m’y blottir, le serrer très fort contre mes petits joues roses. Quand je le vois, plus rien n’existe, cette paire de fesses comme deux gros ballons tout ronds, tout chauds, devient le centre de l’univers. Je tourne autour comme un chien fou, wouaf wouaf, le gros nonos à papa ! Si tu veux être ma maîtresse, je serais ta petite boule de poil fidèle, sautillante et jouant entre tes jambes comme le plus pipou des toutous.
Ca sonne comme si j’avais 5 ans, c’est l’âge mental que j’ai quand je croise son oignon booty. A chaque vêtement retiré mes yeux souffrent, j’en chiale tellement ça pique.
Alexis Texas, le bouli redneck
Arrivée dans ce sale game à 21 ans, la petite se fait vite remarquer par son atout principal : son gros coussin. Dans cette Amérique où le cul est roi, mais où la concurrence avec les renois fait rage, la starlette texane arrive comme le gâteau suprême pour le dude ricain, qui n’aime jamais mieux les noirs que quand ils se contentent d’ambiancer MTV. Les big booties hoes c’est l’apanage des types du ghetto, des renois qui aiment les ambiances BBBW. Difficile pour un type sur un campus de se retrouver dans les délires afro-americains à la « Can’t be Chappelle’s Show”, chacun dans sa communauté aux Etats-Unis et les booties seront bien gardés. Normalement quand t’es blanche, tu l’as dans l’os pour jouir d’un cul comme ça, alors faudrait m’expliquer comment ces ricains arrivent à débusquer ces folies chez leurs blancos. En France pour croquer dans ces gros choux à la crème, faut se lever tôt sauf si tu traînes à Château d’Eau.
Alexis Texas, ce délice, c’est aussi un minois des plus agréables même si on frôle parfois la vulgarité quand le maquilleur décide de lui ravager la gueule pour se venger d’un CAP carrosserie bien foiré. Pas très sympa, surtout qu’elle a l’air gentille et naïve, à lever la cuisse avec la légèreté d’une paille au vent. Des seins naturels, évidemment, madame a le goût de sa jeunesse et un régime secret pour entretenir cette machine de guerre. Mais parfois, quand elle en a gros sur la patate elle se noie dans des pots de Ben & Jerry’s, c’est sa cellulite qui me sourit et moi qui tire la tronche, pas grave, elle a plus d’une corde à son arc comme maîtriser le parler cru, chose rare, surtout quand on a été élevé à San Antonio.
Le dirty talk tu sais c’est risqué, si tu le piges mal c’est trois tartes dans la gueule et une quine en berne que tu reçois. Il faut savoir manier sa langue avec beaucoup de délicatesse et peser ses mots, enrober ce bonbon acidulé d’un petit grain pour faire exploser les tanins. Dans le dernier Jack’s POV, Alexis Texas te donne une leçon en la matière en faisant claquer dans l’air les “cookies”, ça paraît con comme ça, mais ma braguette a lâché en cinq minutes et depuis je me suis mis hardiment à la pâtisserie. Bien joué ma petite texane, je peux savoir ce que t’as vendu à la croisée des chemins pour avoir autant de talent, t’as sucé le diable ou quoi ? Non ne me dis rien, je n’aime pas connaître les tours de magie, je vais me contenter de continuer à cliquer avec un air idiot. C’est ce qu’ils appellent là-bas le “tease” (allumer), l’art de faire monter la pression dans ton slip sans toucher à ton pilou. Les AVN awards ne s’y sont pas trompés, ils viennent de la désigner championne 2011, pour une vague histoire de bagnoles lavées dans un parking, un concept débile que je vous recommande chaudement.
Bouge pas, je t’explique
Petit aparté, il faut que je vous explique la suprématie des culs sur les seins. Le principe est tout bête, tu te lèves les yeux collants et la gueule enfarinée des excès de la veille. Tu te dis, à la présence d’une culotte suspendue à l’étagère qu’un truc chaud s’est passé dans un secteur relativement proche. Quelques indices, dont la présence notable d’une fille à côté de toi et un champ de capotes te mettent la puce à l’oreille quant à une partie de rodéo sauvage. Tu tâtes le terrain, tu tombes sur un sein, qu’importe sa taille, petit et mignon ou un obus de 5 tonnes à la Faye Reagan, la magie opérera et tu téteras gentillement ce cadeau venu du ciel. La fille, tu jugeras sa tête sur Facebook plus tard, pour le moment t’essayes de savoir quel avion de chasse t’as piloté au radar hier soir.
La fille se lève, tu fais semblant de dormir, le plan classique. A moins d’être tombé sur une nana complètement frappée de la tête, elle va se lever en te montrant son popotin. Ça sera là, ta première rencontre à jeun, le moment où tu vas pouvoir juger de l’engin. C’est le boule mec, le bouli-bouli, le temple du vice, là où tout se passe, pas besoin d’aller chercher plus loin, les vrais savent où trouver la vérité. Si un beau matin, tu te retrouves nez à nez avec celui d’Alexis Texas, tu sauras que t’as pas perdu ta soirée. En attendant, continue d’aller brûler des cierges à l’église, car cette pure dope ne se trouve pas sous le sabot d’un poney.
Le rêve américain
Revenons à notre belle, j’ai récemment pu lui faire l’amour grâce à cette petite malice de DVD interractif où on peut s’amuser à jouer au taureau dans les foins et un peu partout dans une grange. Malgré le côté archaïque de la chose, on note que les types qui ont monté cette affaire ont visé juste : tease et dirty talk, ils ont pigé où se situait le bon swag. Je sais pas si c’est le mojo printanier, particulièrement efficace ces derniers temps mais je n’arrive pas à me retenir avec elle, ça part tout seul comme du champagne.
Si Stoya est ma meuf, Alexis est ma maîtresse. Celle que j’appelle les soirs de tempête pour aller naviguer dans les eaux troubles de la vie. Partir pour le danger, le sexe en alerte, fonçant vers ma perte dans des coups de butoir énervés. L’appel de l’aventure, des rencontres impromptues à la va-vite, des saloperies dites à l’oreille. Une chambre d’hôtel, un chrono qui tourne et une heure pour tout donner, c’est ce qui se passe dans ma tête quand j’ai rendez-vous dans ce far-west. Chapeau sur la tête, sûr de soi, le regard implacable et les jambes arquées, avec mon six coup bien lustré, j’ai plus de style que John Wayne.
Ce bouli, c’est les grands espaces, le grand canyon et la chevauchée fantastique. Je veux en être le héros, le parcourir de long en large. Alexis Texas, c’est mon Amérique à moi.
Merde la déclaration d’amour. J’ai aimé.
Sinon le Texas m’a toujours vendu du rêve un peu, et depuis Alexis, encore plus.
Si c’est un rêve, je le saurai…
« Mes amis, je dois m’en aller
Je n’ai plus qu’à jeter mes clés
Car elle m’attend depuis que je suis né… »
Alexis, me voilà !
Ou comme l’a dit Tim Riggins (quote hyper-contextuelle) :
« And, ten years from now, good friends livin’ large in Texas. »
T’en fais pas, boss, un jour elle se réveillera sous ta couette.
Texas Forever.
« Ce bouli c’est les grands espace, le grand canyon et la chevauchée fantastique « . Tiens la fin de l’article m’a rappelé une description de « sur la route » le roman de Kerouac. Du coup il est encore plus « so american ».. je suis tout à fait d’accord.
Elle évoque une certaine part de l’amérique, ce côté mutin avec son petit air insolent, cette démesure qu’on retrouve jusque dans les formes (aiie) et cette frustration, tu sais pas si c’est du pur marketing ou
de l’auto-censure sociale, de ne pas la voir faire de l’interracial.
Et que dire de ce cul ? Quel cul ! Si la rareté est signe de richesse chez nous autres primates avec des atouts comme ça chez une blanche on défroque même un benoît XVI.
Au final Lex (ca y’est on est intime ) c’est le genre de fille avec qui tu sais pourquoi t’es hétérosexuel et pourquoi tu le resteras. Big Up
Bon j’arrête sinon je vais finir par taper des trucs chelou dans mon moteur de recherche au lieu de taffer
(Désolé si ça fait un triplé mais j’arrive pas à poster bizarrement )
Avez vous remarquer que dire Alexis à haute voix, ça change complètement tout? ahah… merde.
Pas touche à Alexis espèce de pervers, elle est à moi, rien qu’à moi…. ma précieuuuuuse
On peut faire des gardes, une semaine sur deux… Mais la casse pas !!!!
Ma préférée.
Mon Tag parfait.
Celui qui me sort de situations difficiles (quand on est sur le point de passer plus de temps à chercher qu’à regarder).
Sans me vanter (si tant est qu’on peut s’en vanter) je crois détenir toute sa filmographie. C’est rare de pouvoir revisionner plusieurs fois les mêmes scènes et de s’en sentir comme la première fois. Alexis, c’est son exploit.
Quant à sa cellulite, I don’t give a shit ! (… anymore)
ps: Il faut prononcer AlexiSS
« En France pour croquer dans ces gros choux à la crème, faut se lever tôt sauf si tu traînes à Château d’Eau. »
Qui veut un bon « bouli-bouli » ce doit d’en avoir le mérite, parole de fille!
Je sais pas si vous êtes au courant au Tag, mais dans deux semaines y’a projection de Superman XXX.
Je sais pas trop ce que vaut le flim (probablement de la merde) mais le bouli d’Alexis sur grand écran ça doit être quelque chose.
Je trouve que son short lui rentre un peu dans les fesses…
Où ça la projo l’ami Castor ? C’est le même réa que Batman XXX donc ça peut-être cool.
Ah oui, le lieu.
Nouveau Latina, rue du Temple !
(samedi 30 avril à minuit)
Alexis Texas, c’était mieux avant je trouve. J’ai du mal à apprécier ses vidéos sorties après 2008, en gros depuis qu’elle est devenue une star. J’aimais son air innocent et en même temps insolent, provocateur quand elle se faisait ramoner. J’aimais voir son boule gigoter dans tous les sens. Maintenant je sais pas, c’est plus pareil. Je dirais qu’elle s’est hollywoodisée : tout ce qu’elle fait me parait calculé, réfléchi, même ce petit regard caméra coquin pendant les fellation me parait surfait. Bref.
N’empêche, sa première vidéo chez AssParade reste une de mes vidéos préférées.
je t’adore Alexis.. tu as un beau cul que j’ai envie d’y faire ma maison, m’y blottir, le serrer très fort contre mes petits joues roses. Quand je le vois, plus rien n’existe, cette paire de fesses comme deux gros ballons tout ronds, tout chauds, font mon bonheur..