La PETA tape dans le porn-game
Et ce qui devait arriver arriva. On savait les gens de la PETA taquins sur le sujet, flirtant régulièrement avec le porn dans leurs campagnes veggie ou anti-fourure, Sasha et Jenna en guest – jusqu’à faire vibrer l’uretère du fétichiste uro qui sommeille en chacun de nous (inutile de nier). Mais tout ça restait jusqu’ici bien soft, on se serait limite cru sur un sexblog (trololol).
Mais quand on touche au porn, c’est pour la vie. Sans surprise (enfin, un peu quand même), la PETA a donc acheté un nom de domaine en .xxx qui aura logiquement vocation à faire lever les poings pour la cause animale (plus d’infos ici).
Espérons simplement que les tags interdits n’auront pas droit de cité. Car, comme chacun sait, les militants PETA couchent avec des lamas, et c’est franchement trop pour mon petit coeur d’ami des bêtes.
Comble du bonheur : le site privilégiera l’amat’, pour le plus grand bonheur des coquins que nous sommes :
“There will be a lot of girl and boy next door content, but we haven’t ruled out celebrities on the site as well. People who are extraordinarily dedicated to helping animals and who are willing to do whatever it takes to draw attention to the suffering they endure.”
Ndlr : Là où tous les pornblogs se simpliferaient la tâche à coups de vannes foireuses sur les chiens et les chiennes, la rédaction du Tag se contentera de préciser qu’elle apprécie grandement la petite Fleur Hopkins, traductrice de communiqués de presse pour PETA France. Ceci n’est pas une bouteille à la mer.
Ah ouais mais nan. Déjà qu’ils me saoulaient les PETA là, si en plus ils touchent à mes vrais centres d’interêt, zut hein. Ils me saoulent avec leurs vieilles campagnes soit-disant décalées et tout.
Laissez-moi manger mon steak saignant avec mon furet mort autour du cou en paix. Si maintenant le porn vient me faire la leçon à ce sujet je dis merde à la vie.
Un cri dans l’internet