Sexcam Porn Institute
Coup de fishnet dans le porn de l’est. La police ukrainienne vient de tomber sur une drôle de résidence universitaire. L’Ukrainian Insitute du glauque était en fait un studio de production, où s’entassaient une soixantaine de filles pour des sexcams à la chaîne. Le commerce juteux de la cam, certainement le plus rentable du X business, rapportait un million de dollars par an au boss des lieux qui avait transformé cette résidence en bunker surveillé. Les filles touchaient évidemment beaucoup moins et étaient recrutées par cette grosse ficelle « Nous avons besoin de femmes pour travailler à la télévision. Possibilité d’un bon salaire et d’une carrière brillante ». La version hard du recrutement de la miss Météo de Canal.
Le problème est qu’on ne rigole pas avec le porn en Ukraine, en vertu de la loi pour la « défense de la moralité publique », la production et la diffusion de porno sur internet sont passibles de sept ans d’emprisonnement. Pas trop bêtes, les types avaient quand même brouillé les accès aux pays de la Communauté des États Indépendants, pendant qu’ils arrosaient tranquilou les États-Unis et l’Europe de l’Ouest.
Conclusion de cette brève. Traduire automatiquement un article du russe au français peut donner des phrases du genre :
“Qui aurait pensé que dans le centre de Zaporozhye est plus d’un an de travail de cette pornostudiya dont les produits sont en mesure de conduire dans la peinture, même Larry Flynt ?”
et qu’il va falloir qu’on vous parle rapidement des sexcams russe.
La traduction est juste mythique ^^ Vive Google Trad
Elles étaient rémunérées. De problème, je n’en vois pas.