Complicité mère et fille
Le porno, depuis de nombreuses années, propose à ses spectateurs de fantasmer sur l’inceste. Tabou ultime, partagé par l’ensemble des communautés humaines selon les anthropologues bien documentés, les pratiques sexuelles à l’intérieur du cercle familial sont interdites. Et donc, elles hantent les pensées de nombre d’entre nous. Dans les vestiaires sportifs, qui n’a pas entendu un coéquipier fanfaronner sur la nuit passée avec la mère de sa copine ? Dans un club de cigares, qui n’a pas entendu un patron du CAC 40 arguer de la manière de corrompre la fille d’une maîtresse ? Il semble alors naturel que le porn business comble ce fantasme avec une flopée de films sur les frères, les soeurs, les MILFs, les belles-filles, les beaux-pères, etc.
Seulement, la société du spectacle prend un tournant de plus en plus réaliste. A la télévision, comme sur Internet, la vérité est exigée, les secrets sont à dévoiler. Voilà pourquoi le porno actuel donne beaucoup de place à l’amateur, aux sextapes, aux filles de Gonewild, aux cams et compagnie. Le consommateur veut du vrai, de la télé-réalité partout. La mise en scène se meurt, les situations se doivent de révéler une authenticité non feinte. Le succès des sœurs Lane en est la preuve. Avec leur production indépendante, elles offrent du fantasme incestueux à ceux qui en désirent, elles jouent sur l’ambiguïté et ont bien raison.
Jessica et Monica poussent ce besoin d’authentique plus loin encore. Elles se font appeler les Sexxxton et sont mère et fille, pour de vrai. Tourner des scènes en famille, tel est l’avenir du porn. Petit business de niche, viable avec l’Internet 2.0 et ses consommateurs libres de dépenser où bon leur semble, l’initiative des Sexxxton a toutes les chances de réussir. La fille a eu l’idée du projet. Souhaitant gagner de l’argent, elle proposa à sa mère de se lancer. Qui pourrait lui en vouloir ? C’est la crise !
Vous en découvrirez plus en lisant les autres articles sur les Sexxxton, mais cette histoire, relayée dans la presse généraliste, prouve une chose : le besoin d’authenticité dans le porno va toujours plus loin.
Elles sont mémorables dans Efukt les 2 dernières. Une qui est blastée à la colle à papier peint et l’autre qui chiale à cause d’un deep throat trop agressif pour sa glotte.
mon dieu… où va le monde ? hihi
Et encore elles ne se touchent pas pendant l’acte. Au contraire d’une des dernières vidéos made in france de Jacquie et Michel. Digne du mauvais fappeur.