Mano Martinez – Omar
Tous les matins depuis notre hôtel particulier, j’ouvre les rideaux, j’allume le Tag, je le laisse ronronner doucement puis j’observe la vie par la fenêtre. Nous sommes en 2033, le porn règne sur Terre et l’humanité préfère baiser en se filmant que de s’envoyer des obus dans la tronche. Nu, je réchauffe mon corps des rayons du soleil ; au fond de la pièce Mano Martinez, le photographe espagnol sort son gros appareil.
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