Google Vidéos, le porn en folie
La quête du tag parfait s’avère difficile, on le répète assez souvent. Moult fois, j’ai galéré à naviguer entre les tubes pour trouver une vidéo complète de HotKinkyJo. Pareil pour obtenir une vue d’ensemble de l’œuvre de Cayenne Klein, c’est compliqué. Alors, comment faire ?
Plusieurs solutions s’offrent au fappeur, à la fappeuse.
Il existe les agrégateurs de tubes comme TubeGalore. On tape son mot-clé et les résultats s’affichent, peu importe le site d’origine. Cependant, il s’agit là d’un emploi plutôt poussé en matière de fap. Tout le monde n’a pas cet irrépressible besoin de tout connaître sur un tag ou une actrice. Et le design façon frame peut rebuter.
Sex.com propose son astuce perso. Utilisez Google Vidéos ! Nous sommes déjà habitués à faire des requêtes dans la barre Google. Il suffit simplement de désactiver le safesearch, d’aller dans l’onglet Vidéos (pas Youtube, hein !), d’écrire son désir du moment et BIM ! Toute une liste de vidéos cochonnes provenant des tubes les plus populaires et qui travaillent leur SEO : Xhamster, Redtube, XVideos, Pornhub, Youporn, etc.
Si nous nous en tenons à la présentation de Sex.com, cette solution semble la panacée, l’agrégateur universel. Nos équipes ont testé cette nouvelle manière de trouver son bonheur de fap. Les conclusions sont mitigées.
Le négatif : les résultats sont pollués par plusieurs éléments. Tout d’abord, les clips Youtube. Pour la recherche « Ariel Rebel », ni nudité ni même téton de la jolie Québécoise dans la 1re page. SERP de boloss ! Pour la requête « Cayenne Klein », Youtube vient contrarier notre ardente volonté de branlette en proposant de l’équitation comme premier choix. Ajouter le mot « porn » améliore grandement les réponses.
Ensuite, quelques pièges menacent encore, les vidéos supprimées et les sites complètement pourris remplis de pop-up, de faux liens. Faire confiance aux tubes reconnus évite ces désagréments. Également, les torrents gâchent la prospection sur HotKinkyJo en un rien de temps. Le simple pseudo de l’actrice à l’anus en caoutchouc et vous devez atteindre le bas de la page 3 pour trouver la cavité tant désirée.
Enfin, la durée des vidéos ne s’affiche pas toujours. Quelle déception de tomber sur un trailer quand on souhaite savourer un film dans sa narration entière… Il y a donc quelques faiblesses sur Google Vidéos en matière de porno, en comparaison des agrégateurs de tubes.
Le positif : le design de Google est familier, on se sent à l’aise et les réponses sont claires. Toute l’expertise des algorithmes Google au service du pron, c’est plutôt appréciable. Pour la requête « HotKinkyJo porn », le 1er résultat offre une compilation de 72 minutes regroupant ses plus beaux moments de bravoure. Par bravoure, il faut entendre prolapsus et fist anal. Le 2nd résultat expose sa première production professionnelle, soit 49 minutes de bruits bizarres. Pas mal. Pour la recherche « Cayenne Klein », la page 1 est également de qualité.
En matière de tags, Google Vidéos fait bien le job. Big Boobs, Blowjob, MILF satisfont le chaland. Pour les mots-clés ayant des occurrences dans le langage courant du style facial, teens ou ebony, l’addition de porn suffit à faire son bonheur.
Google Vidéos aide donc les fappeurs dans leurs recherches et plutôt efficacement. Malgré la guerre que le tout-puissant maître des Internets mène contre le porno, il sert grandement les consommateurs de ce genre de divertissement. Les multiples pénalités reçues par le Tag prouve le désamour de Google, mais rappelons-nous aussi de la dernière version de Penguin qui avait affecté les tubes et de cette peur que les pornographes s’emparent des Google Glasses.
Coucou maman : lol.