Nina Hartley I’d Like To Fuck
Accoudés au bar d’internet, levant nos vieux coudes pour trinquer ensemble, Saint-Sernin et moi, les vieux croutons du Tag, on s’interrogeait sur ce qui donnait encore du goût au porn. On parlait shemale ; masturbation en bibliothèque (library — le nouveau tag qui cartonne) ; Vanessa Hugdens et Selana Gomez dans une scène de pissing chez Kink, de la sex tape hardcore de Nabilla qui n’arrivera jamais ; de Snapchat ; de la caméra cachée qu’on a planquée au-dessus du lit de Jizzkov pour streamer ses missionnaires sur Cam4… Ce genre de choses qui parviennent encore à nous la dresser fièrement. Puis, est arrivé le cas Nina Hartley.
Du haut de ses 58 ans (dont 29 ans de carrière), Nina contemple le porn avec majesté. L’éternelle milf (qui commence sensiblement à flirter avec le granny) est là, toujours prête à donner un coup de main à un acteur qui joue les faux ados, à filer des conseils aux débutantes, à camper les mères incestueuses et les tentatrices. Celle qui d’après l’affreux Saint-Sernouille a « le goût de la naphtaline », a toujours su réintégrer du sens au fap en l’emmenant dans des contrées tendancieuses, plus particulièrement celles de l’inceste.
Il faut dire que l’inceste est un tag immortel et pas si tabou que ça. A bien s’y pencher, personne ne pense réellement à sa famille quand il fappe là-dessus, sinon autant trainer sur le Facebook de son daron ou ouvrir un album photo de famille et passer par la case « gros taré ». Non l’inceste c’est autre chose, c’est entre l’appropriation de la scène et le détachement, ce jeu d’équilibriste qui passe de l’excitation au dégoût et vient nous travailler l’épine dorsale. Soit la 5e saveur du porn, l’umami du fap.
Ce petit goût salé un peu malsain et addictif, le même qu’on retrouve dans les plus belles heures du « trap » où après dix minutes de séduction, une teub de taille impressionnante s’invite dans la partie ou quand on s’aventure dangereusement dans le tag cuckold et qu’on hésite à regarder cette BBC taper sur les bambous de notre femme et devenir numéro 1.
On s’éloigne, on s’éloigne… Mais pas tant que ça au final, car Nina Hartley est toujours là, à nous mater le kiki d’un air bienveillant et vicieux. C’est d’ailleurs ce qu’elle fait dans cette scène avec le jeune retraité Danny Wylde, qui joue son neveu et qu’elle surprend en train de se donner du plaisir pour finalement lui en procurer dans une levrette claquée.
C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Ce dicton un peu sale convient bien à Nina, cheftaine de l’inceste et des porns goûtus.
Tags : #aunt #incest #milf
Note xHamster : 97 % (les vrais savent)
Meilleur com : this chick can do more tricks with a dick than a monkey can do with a banana
Tiré de My Hot Aunt 2 (2012)
Nina c’est la meilleur
Cette dame a même joué dans le clip non-censuré de 2pac « How do you want it ».
Elle a dit, plus tard en interview (sur son site), que le tournage s’était terminé en partouze et que Tupac avait ce qu’il fallait pour être un acteur porno.
J’espère aujourd’hui que Booba se tape aussi les biatch de ses clips, et que Seth Gueko a mis une « cartouche » à Miss Amal (pseudo parfait à une lettre près d’ailleurs!).