After Dark: Paris Richards (Toronto Series)
La revanche des boulis a sonné, à terre les petits boules mignons, dans les cordes les culs plats, la mode est clairement aux mastodontes, à Jupiter et Saturne en gravitation autour de nos têtes. Si Internet est un terrain de jeu, WorldStarCandy, satellite de WorldStarHipHop est sa cour de recré. C’est ici que se réunissent les danseuses, twerkeuses, strip-teaseuses, figurantes et autres gos qui exposent sur fond de musique soutenant un chant aux paroles, scandées sur un rythme très martelé, leur postérieur sous tous les angles, surtout les plus grands, pour que ça s’étale bien sur tous les contours de l’écran.
Leur twerk ramène tous les types dans la cour et leur moue, mi-sérieuse, mi-triste, toujours avec du gloss brillant, efface doucement la frontière entre porno et clip promo. Je ne sais pas si je pourrais vraiment fapper sur Paris Richards, mais je dois bien avouer que lorsque j’imagine mon corps maigrelet glisser entre ses cuisses huilées, ma teub s’affole. Même si son front imposant me fait penser que son string cache au final un Kinder surprise, j’ai envie de rebondir sur son énorme cul puis ses seins gargantuesques, et ainsi de suite jusqu’à y déposer une petite offrande qu’elle étalera mollement au milieu de sa vallée des délices, l’air blasé.
Ainsi va la vie sur le web, on clique quelque part, on a envie d’aimer, on referme la page et on retourne bosser.
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