Un après-midi avec Wioletta
Petit après-midi à ne rien faire, Wioletta (rien à voir avec l’héroïne Disney) m’envoie un texto péremptoire. Elle ne me demande pas mon avis et se ramène en me disant : « Sors ton gros appareil, on va s’amuser ! ». Elle met le son de Tyga avec 2Chainz et c’est parti.
« Do my dance on your dick, Ooh you know you love this shit.
Do my dance on your chick, Ooh you know she love the dick. »
Les débardeurs ont toujours provoqué un effet bœuf sur ma libido et que dire des petits boulis. Wioletta a beau être modèle en Pologne, elle trouve quand même le temps de me rendre visite sur les bords de la Garonne. Je tamise la lumière et le rodéo commence. Elle me chauffe, j’ai la gaule, je la touche et elle me frôle, j’ai envie, je n’en peux plus. Je coupe la cam, le reste appartient à notre jardin secret. Celui que j’entretiens délicatement à l’ombre de mon porn, comme un saligaud, mon putain de porn, mon alter ego.
Vidéo de Radoslaw Kwasiborski, souvenez-vous.
C’est tellement prenant mais l’arrêt est aussi tellement brutale, c’est (tellement ?) frustrant !