James Deen et la poutine la plus chère du monde
James Deen ne danse pas la poutine, il la cuisine et pas n’importe laquelle, la plus chère du monde (soi-disant). Toujours dans sa série sur Wood Rocket, notre amoureux des tacos s’attaque à la cuisine québécoise avec l’esprit d’un Epic Meal Time qui exciterait un peu plus les filles.
Comme tout bon Français ayant vécu au Québec un certain temps, j’ai eu mon histoire d’amour avec la poutine, ce plat des bas-fonds, devenu symbole d’un snobisme hipsterien avec les années. Moi et la poutine, au début notre romance tenait plutôt du it’s complicated, je n’y trouvais aucun intérêt. Puis je m’y suis mis et je les ai toutes aimées, de celle du McDo à celle de la Banquise, la plus connue, en passant par bien d’autres restaurants qui proposaient leur version du met des gourmets de fin de soirée.
Deen nous fait n’importe quoi. Il est en voie d’acquérir le titre de grand maître du food porn catégorie YOLO. Pour sa recette de poutine — à la base ce sont des frites, du fond de sauce à la viande et du fromage à la con et sans goût —, James et son comparse prépare du filet mignon au vin (à 200 dollars), du magret de canard, trois types de fromages dont du bleu et la sauce Saint-Hubert (un vieil ami à moi), qui est la base pour toute poutine qui se respecte, qu’ils ont épaissie avec son cru à 200 boules.
Voilà une poutine à 482 dollars. Aucune idée de ce que ça goûte, mais ça doit être fort en tabernak.
Vous noterez au début de la vidéo, cette pastille jouée par Deen lui-même pour vanter les qualités de son sponsor.
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