TGIF #5 : la chirurgie du pénis
L’heure du weekend a déjà sonné et elle n’est pas venue toute seule. Ce soir, certains fêteront Halloween, d’autres passeront leur soirée devant le dernier épisode d’American Horror Story : Freak Show, ce qui revient à peu près au même. Reste que la porte est grande ouverte à toutes les déconnades, les litrons d’alcool ou de tisane, comme la promesse d’une weekend éternel. On ne va pas s’éterniser plus longtemps, chacun doit aller vaquer à ses occupations, que ce soit un apéro entre potes ou se rouler sous la couette jusqu’à demain midi.
Le Graal du sextoy, c’est peut-être ceci. Qui n’a jamais rêvé de pouvoir recréer les effets d’un cunnilingus en version mini, sinon portative ? Il y a aussi une autre possibilité : ceci sert à recréer, de la manière la plus réaliste possible, la sensation procurée lors d’une fellation. Bref, cette chose en silicone offre assez de possibilités pour devenir le copain de tout le monde, et en attendant qu’il soit sur tous les marchés, on peut toujours se choper son petit pote.
L’idée de se défouler en tapant dans un punching ball est une bonne alternative après une journée de merde. De là à taper dans une paire de couilles, on passe quand même un cran au-dessus sur l’échelle de la colère. Bon courage au mec et à ses roubloublous qui, en plus, ont l’air remplies à ras bord d’injections salines.
Dans ces deux gifs, on peut noter une prédominance pour les couleurs roses et les délires peu usuels. D’un côté, un homme se fait balader la bite de gauche à droite par une jeune femme gantée avec des moufles en forme d’énormes pattes de chat. Mignon, mais pas sûr que ça soit si doux. De l’autre, un monsieur qui a décidé de foutre en l’air le petit plat de sa pote, préférant avoir du ketchup sur sa braguette plutôt que dans son assiette. Dans les deux cas, nous sommes face à des mecs qui n’ont pas peur de sortir de l’ordinaire, ce qui force le respect.
C’est Halloween, vous vous creusez la tête pour trouver un costume terrifiant en évitant de sortir du grenier celui avec le masque de Scream (il n’y a plus que dans les clips de rap français pétés qu’on le retrouve). Vous pouvez tenter de dévisser la cuvette des chiottes, y déposer un chaleureux étron et vous balader ainsi dans la rue, personne ne vous jugera c’est garanti.
Se servir d’un poulpe comme d’un accessoire pour les préliminaires, c’est faire un pas en avant vers le plaisir. C’est aussi et surtout renoncer à se servir d’une petite culotte ou d’un string comme d’un fil à couper le beurre. Plus tendre et humide, le poulpe est forcément plus doux qu’une bande de coton.
On remercie Lilly du collectif Girls Unaware pour cette jolie production en 3D destinée à I-Q magazine. Un nuage de tag vient dissiper les quelques doutes restants : oui il s’agit bien d’une chatte et non d’un nouveau genre de vase moderne. L’idée n’est pas idiote mais manque d’un peu d’eau pour les plantes.
Un chirurgien, une pilule, une faute d’orthographe et le tour est joué. Derrière cette publicité rassurante se cache un incroyable secret, on peut allonger la taille de sa teub avec un simple cacheton. Alice croquait dans un champignon pour grandir, les vrais bonshommes en 2014 gobent des pilules pour voir leur pénis s’allonger démesurément, sous l’oeil bienveillant de la médecine moderne. On espère juste que le chirurgien ne s’appelle pas Henry Michel.
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