TGIF #6 : baiser du réel dans le virtuel

Sixième TGIF, avec tous nos petits trésors récoltés au gré de nos petites pauses sur internet, de notre vadrouille quotidienne, toujours dans l’amour et la bonne humeur. Il faut bien avouer que depuis que le soleil a mis les voiles vers l’autre hémisphère, il ne nous reste plus que ça pour nous réchauffer le cœur. Heureusement le weekend est déjà là, on peut enfin se blottir sereinement contre l’insouciance de deux journées presque sans travail, embrasser à pleine bouche un divin repos bien mérité. Juste avant de retrouver la motivation pour aller boire un petit verre, prenons quand même le temps de méditer la possibilité d’une baise réelle dans le virtuel, et inversement.

boobs seins peur grimace

Passer de la douceur de ces seins à une grimace, aussi drôle soit-elle, permet de passez du garde à vous au rire tout en douceur et soutif’ rose. Encore une belle preuve que la gaule est encore plus délicieuse dans la joie.

tintin gay beach eric Shanower

Cette joyeuse illustration a été réalisée par Eric Shanower pour le flyer d’un rassemblement Comic Con sur la plage de San Diego. Outre le fait que l’idée est rigolote, on apprécie tout particulièrement le sens du détail en accordant le petit caprice capillaire de Tintin à ses poils pubien.

google cumshot

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Utiliser des lunettes de piscine pour se protéger des projections de sperme est une idée de génie. Elles sont encore plus indispensable quand on a affaire à un gros malin qui vise expressément l’oeil. À moins que vous n’ayez le goût du risque oculaire, il ne vous reste plus qu’à lui mettre la main quelque part au milieu du visage.

hood leather bdsm eyes doll

Quand on met des googly eye à une cagoule BDSM, ça donne ce petit bonhomme penaud et triste. Une image sur laquelle on est resté bloqué plusieurs heures, tant l’empathie nous submergeait. Si ce petit délire fait bander vos zygomatiques, Woodrocket a consacré un album de photo entier aux googly eyes dans le porn. Point de tristesse là-dedans, juste de quoi rire grassement.

Rihanna Esquire magazine shoot

Rihanna n’a pas fini de squatter nos magazines. Cette fois-ci, elle s’est glissée entre les pages du numéro de décembre de la version anglaise du magazine Esquire. Derrière l’objectif, la photographe Ellen von Unwerth, dont le talent pour magnifier ses sujets n’est plus à prouver.

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Accrochez-vous, ceci est le prochain sujet du bac philosophique : le virtuel est-il réel ? Cette aberration sémantique est rendue possible par le monde du porno et de la rencontre, qui arrive à rendre plus réel le virtuel, à moins que nous ne soyons nous-même le produit d’un jeu vidéo, mais c’est un autre débat.

Dans un esprit d’égalité et de justesse, les peluche géante ne sont pas dénuées d’orifice anale, ce qui contribue à leur conférer une certaine légitimité quand elle viennent expliquer de manière ludique comment se servir des toilettes. En parlant de truc qui sortent par en bas, il faudrait quand même que ses créateurs songent à changer le truc maronnasse qui lui sert de chapeau.

 

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