La fille Dakota
Ma voisine où qu’je lime a toujours c’t’oeil qui les murs crispe transparents
C’t’oeil
Qui veut blondir en Deborah Harry mes interdites
Volontés : la prendre et là, LÀ ! La
Lécher comme on lèche une oasis
Comme on sniff’ un fion d’énarque avant l’oral analytique.
Ma voisine aux petits cris morning je l’imagine ainsi qu’la fille
Dakota
L’oeil immoral aux presque plats nibards pour compléter un cul dont chaque claque est un hommage
Et paf !
Blondasse à qui le Pape apprendrait bien l’extase.
Ma voisine a fait fondre plafond, plancher, porteur et vis-à-vis sonore
Et vise aussi tout autre sens sirupeux dont l’art ultime est dans la fille
D’à côté
Où l’herbe et c’est vrai est toujours plus ouverte…
Dakota ma voisine a deux joues pour Fenêtre
Sur cour
Coucou ! Dit-on en clics et moi
Et mon Kodak.
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