Les gifs gay de la semaine #11
Le mois de février est toujours le plus court de l’année. Une fois tous les quatre ans, cependant, il s’invite un peu plus longuement à la table du calendrier annuel. 2016 fait partie de ces années qu’on aime au Tag : un jour en plus, bien calé où il faut dans la semaine, ça nous donne une semaine de gifs gay en plus et ça c’est le plus beau des cadeaux. Enjoy !
Des muscles travaillés, des peaux tanées et des tatouages qui invitent à s’approcher un peu plus pour les comprendre : voilà comment se résume le couple que forment Topher DiMaggio et Levi Karter. Entre toutes ces tablettes, on ne sait plus où se foutre, heureusement lui (le foutre) parvient toujours à s’y frayer un chemin (sur les tablettes). Pornophiles oui mais poètes avant tout.
Topher DiMaggio & Levi Karter – Cocky Boys
A la maison on est très fan de toutes les bizarreries anatomiques qu’on trouve dans le corps humain. Alors autant dire que celle qui permet aux testicules de se mouvoir comme bon leur semble a fait un véritable tabac. En même temps, affublé en policier Connor Kline est dans son rôle de tout contrôler. Ce rimjob professionnel, pas de doute, c’est de lui.
Liam Magnuson & Connor Kline – Men in Blue – Men.com
Quel plus doux dimanche que celui qui se termine par une fellation amourachée ? La semaine dernière, on ne l’a pas mentionnée, mais c’était la Saint-Valentin, cette fête où tous les couples se retrouvent pour se faire des gâteries – c’est bien à ça qu’elle sert. Colby et Léo n’ont pas dérogé à la règle et se sont prouvés mutuellement leur amour (et plus si affinités).
Colby Keller & Leo Giamani – Randyblue
Lumière tamisée, sodomie violente et corps d’athlètes : encore un beau combo. Mais ici, il y a ce petit truc en plus que d’autres n’ont pas. Serait-ce l’adorable bouille de Bruno Bernal ? La transpiration excessivement excitante de Paddy O’Brian ? Nous n’avons pas pu nous décider tellement les deux ne fonctionnent à merveille qu’ensemble. « Peu importe la bouteille pourvu qu’on ait l’ivresse », dit-on.
Bruno Bernal & Paddy O’Brian – Hard Knox – Men of UK
Dans la famille « espiègle » je demande : Austin Wilde. Un brin coquin, toujours rieur, il n’hésite pas à se jouer de ses petits camarades et détient plus d’un tour dans son sac. Dans la famille « béat » je demande : Andrew Collins. Quasiment enfant de choeur, presque naïf, il se complaît dans toutes les situations et y trouve toujours son compte. Un duo de choc.
Austin Wilde & Andrew Collins – Guys In Sweatpants – Waybig
Image à la une: Topher Dimaggio
Bisous
Aucun commentaire. Laisser un commentaire