Les gifs gay de la semaine #64
Une main qui s’insinue sous l’édredon, des doigts qui glissent contre la peau. Sous le doux coton d’un slip sale. Deep dreams pixélisés, les yeux écartelés, mille fantômes déclassés. Toujours et encore à la poursuite du tag parfait. Et si c’était toi ?
Un gland lustré qui vient glisser contre un orifice encore serré. Œillet froncé, bite suppliée : un prélude délicieux à des désirs assouvis avec souplesse. Oubliez le tapioca, Romance et Brooklyn Kidd se mettent en quatre pour nous concocter un bubble (boo)tea gluant à souhait. Un petit grand écart, encore un coup de rein: le supplément latte est servi!
Un petit coquinou a piqué la petite culotte de sa petite copine. Le nombre de petites choses dans cette phrase annonce une branlette kawaï. Mosaïque de matières pour nous chatouiller les yeux : couilles fripées, dentelle et petit nœud et une très fine résille pastel qui dénote avec une moquette brune ordonnée et fournie. Sans oublier le maître mot de cette vidéo: transparence. Allez, je vais faire un tour chez Etam…
Ouhlala Kevin Blaise qui joue au bitch volley avec Zak Bishop. Le soleil dans la tronche, une belle cicatrice sur le front et un sourire Émail Diamant. Un combo magique pour déconcentrer l’adversaire. Stratégie payante : quand Kevin me lance la balle, je ne sais plus trop si c’est la sphère volante ou ses deux globes bien terrestres que je veux attraper. Serge et Serge, coup de foudre au match de volley ball…
Un porno qui démarre salement, comme un film d’horreur des seventies. Après un kidnapping rondement ficelé, nous voici dans l’antre de la folie. Mais la bête est loin d’être aveugle : excité par la vision du corps d’albâtre de son nouveau jouet, le serial fucker saucissonne sa victime dans un écheveau de chanvre. Lié, léché, labouré, le souffre-douleur encaisse en gémissant les caprices de l’homme limace.
Dites à Catherine Deneuve d’aller se rhabiller, on a trouvé une nouvelle reine des neiges. Non, je ne parle pas d’Anna, mais d’Idmir Sugary, exhib passionné qui nous fait voyager dans ses fantasmes. On le retrouve ici au bord d’un lac gelé, dans un cadre bien composé, pour une branlette digne des plus belles toiles romantiques : le branleur contemplant une mer de glace. Je vous laisse, je vais faire les soldes au vieux campeur…
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