Kasey Chase : smells like teen pussy

Tout est parti d’un malentendu, une confusion bête et stupide. Dans la série Jack’s POV chez Digital Playground, évoquée maintes et maintes fois ici – célébrant ainsi le concept de cocaino-porn – il y a eu le volume 16. De relativement bonne facture, il comportait une dernière scène assez cool avec quelqu’un qui ressemblait vaguement à Lexi Belle. Terrible erreur, c’était pas du tout elle…

Cette fille c’était Kasey Chase, et l’ayant classée dans le tag Lexi Belle de mon cerveau perdu, j’en avais ignoré jusqu’ici l’existence. C’était pourtant pas faute de l’avoir croisée, chez les toujours-très-doux X-Art (sous le nom de Carlie), dans les inégaux gonzos de New Sensations, même chez les escrocs de teenbff.com ; mais où avais-je donc la tête ? Peut-être parce qu’on oublie trop vite les teens car la plupart ont une durée de vie trop courte… Ou alors, il me manquait juste un état de choc suffisant pour me rappeler son petit nom. N’étant pas trop physionomiste, Kasey, Lexi ou ta petite soeur, c’est vite devenu la ritournelle de Whateva Man.

« Faux raccord » pète un câble sur son POV

Ça faisait un moment que je traversais un désert pornographique, la lassitude sans doute ; malgré mon amour naissant pour Skin Diamond, je me repliais dans des tags obscurs et sales, dans des tubes d’arrière-cour – délaissant ainsi mes porns de compète.

Quand t’es dans le désert, depuis trop longtemps…

Les tubes, faut bien l’avouer, c’est vraiment le bordel, même avec un diplôme d’expert en tags, on se retrouve vite face à un flot de nullité à en flinguer sa libido. La faute à la surabondance, à l’achat de licences par camions, à la frilosité (ou la haine) des grosses productions à intégrer ce nouveau support de distribution et aux bots russes qui foutent la merde dans le rating des vidéos. C’est pas la joie, on a le fap triste même devant des combos de tags parfaits ; ça se voit à la manière dont on ferme nos fenêtres pour oublier. Donc il faut revenir à l’essentiel, à la grosse production : l’artillerie lourde américaine qui fait sauter les plombs de la vie sexuelle par procuration.

Du côté de chez Power Fuck – gonzo de luxe sorti plus ou moins récemment chez DP – il y a une scène assez hallucinante entre Stoya et Manuel Ferrara, suffisamment puissante pour nous empêcher de cliquer ailleurs. En effet, quand on a touché les cimes du plaisir avec le bout du gland, on ne voit pas trop l’intérêt de pousser le vice plus loin, sauf peut-être pour y découvrir la 4ème dimension. L’occasion d’ouvrir ici une parenthèse scientifique.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=hjwI9Oz0yl0&[/youtube]

La 4ème dimension, c’est le temps des dimensions. D’Alembert, qui n’était pas un con d’après les livres d’histoire, avait senti ce truc un soir après s’être donné beaucoup de plaisir avec une jeune fanatique au physique qui mettait à mal les attaques du temps.

« Un homme d’esprit de ma connaissance croit qu’on pourrait cependant regarder la durée comme une quatrième dimension » «Mais c’est aussi une sensation. ».

Word !

Une sensation, un peu comme le tag #teen, qui est un mensonge qu’on veut bien croire. Tag pédopornographique par son étymologie, mais tout à fait légal par la puissance de l’industrie pornographique. Tout est donc relatif ici et c’est pas ce bon vieux Einstein qui nous contredira, reprenant le concept de relativité du temps pour sa relativité restreinte. Si vous voulez en savoir plus cliquez là. Les autres vous pouvez rester, on ferme la parenthèse.

Funambulisme au sommet du mont Everest

Un après-midi, bien décidé à retrouver ce mojo perdu dans les couloirs des tubes, je tente l’improbable, entrebâiller la porte, aller plus loin que cette fameuse scène avec Stoya. Chose faite, me voilà avec Manuel Ferrara et Kasey Chase, énième rencontre avec cette jeune fille de 20 ans, qui cette fois finira par payer. La scène est un classique de vestiaire de foot américain. Manu emmène Kasey – qui semble tout droit sortir de son sweet sixteen – lui faire sentir des coques de protection… Fantaisie que je pensais alors réservée uniquement à la communauté gay et aux sniffeurs de cho7 (big up à Malik TN) ; et bien c’est faux, cette petite a l’air d’y prendre beaucoup de plaisir. Mais là n’est pas le sujet, c’est son corps la véritable fantaisie.

Plan sniffage avec Kasey

Un corps où le tag #skinny s’affole, aux petits seins si mignons qu’un cute puppy s’est pendu, et surtout ce Graal : une chatte tellement serrée qu’elle en fait rougir le tag #anal.

Manuel a bien du mal à faire rentrer son engin et c’est tout à fait l’idée de la #teen comme on la fantasme : mineure, groupie, cochonne, un peu idiote mais prête à l’aventure. Nice and tight, comme on dit. Les années lycée dont tu peux maintenant te venger sans complexe, devenir le grand frère qui part à la conquête des terrains presque vierges, la riposte à retard, la vengeance à rebours. La folie prend en otage l’écran de nos vices, c’est le crâne qui se craquelle en mille couleurs à la vue de Kasey et de ses 20 ans. Les autorités ne pourront jamais nous arrêter, on frôle la prison mentale mais peu importe tant que c’est légal. #teen is not a crime.

O_O!

Tu reconnais un bon porn quand t’as pas le temps d’aller voir plus loin, car t’as déjà fini. Cette scène pourrait bien durer des semaines, tellement Kasey incarne la teen parfaite. Ce fantasme qui revient par vagues à mesure que les années passent et que la différence d’âge pourrait devenir dangereuse au regard de la loi. Avec elle, pas de menottes, c’est à pleines mains qu’on empoigne notre chibros et qu’on l’agite en tous sens comme des attardés mentaux.

Encore fraîche, sa courte filmo promet des lendemains qui chantent : commençant par des petits guili-guilis lesbiens, puis jouant la carte teen à fond dans des petites productions gonzos par toujours d’un goût certain ; elle commence maintenant à prendre du poids chez les grands – mais ses apparitions restent encore rares. Ce qui est rare est précieux et tant mieux car l’imaginer se faire passer dessus par toute la porn valley me la coupe un peu. Dorénavant je passerai ma vie à retrouver sa trace, à la traquer, à lui donner mon amour même s’il n’ira jamais plus loin qu’une dizaine de centimètres de haut, pour retomber tristement dans les poils de mon bide. Post-coitum, fappor triste.

Porte d’entrée vers la 4ème dimension

Kasey Chase, incarnation d’un fantasme durable a remis en un après-midi ma libido virtuelle sur les rails. La vie sur internet ne tient à rien, on se lasse vite, on oublie, puis un jour on a le déclic et on repasse du noir et blanc à la 3D en couleurs. Ma petite Kasey, je t’en supplie, ne vieillis jamais, deviens immortelle pour nos longues nuits d’hiver. Notre jeunesse s’évapore, tu l’as bien compris et tu essayes de la retenir du bout de tes petits seins. Tes mains sont si douces et parcourent nos visages frippés ; nous ne sommes que de simples mortels. Fais-nous encore exister le temps d’un fap suspendu, refais de nous des enfants terribles, sauvages, vivants. La fontaine de jouvence jaillit de ton regard ; un pied vers la 4ème dimension.

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