Songe d’une pluie d’été

C’était un jour de mai, à l’ombre d’une pluie d’été. Nous courions dans les blés, fiers d’être essoufflés, profitions de l’instant sans nous soucier du temps. Mon amie rayonnait, dans son débardeur blanc, riant de toutes ses dents. Je ne pouvais qu’admirer les entrechats qu’elle mimait, mutine, habitée par l’enfance qu’elle venait de quitter. Les minutes passaient sans qu’à mon regard elle ne puisse se soustraire : je la tenais en laisse à travers mes pupilles et elle m’obéissait dans sa danse gracile.

Le soleil défilait et n’allait pas tarder à rejoindre Morphée. Toujours heureuse mais lasse d’avoir tant joué, elle était désormais assagie. D’un regard lascif elle m’avait alerté : tout se passerait dans ces fourrés. C’était à mon tour de jouer le rôle de la nymphe docile ; je l’endossai sans ambages, me dirigeant vers une botte de foin que de la bouche elle semblait m’indiquer. Allongé, je contemplais la vue, paysage délicieux que sa vulve m’offrait.

Sa main doucement s’agita ; j’observai en contre-plongée ses doigts voraces qui plongeaient. Tautologie absurde qui finit au-delà de tout ce que j’espérais : l’inondation m’atteignit, semblable à la mousson. J’étais alors un garçon trop timide pour ouvrir grand la bouche. Qu’à cela ne tienne, elle redoubla d’effort. Entre ses cuisses humides, j’étais au bord des larmes. Dans un mouvement de hanches, je m’y abandonnais. A ces gouttes perlées se mêlait sa sueur, offrant à mon palais un souvenir salé. La journée se conclut sur cette note mouillée, jamais je n’oublierai cette chaude pluie d’été.

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