R18 construit un pont entre le Japon et l’Occident
C’est un fait, les Japonais produisent deux fois plus de porno que les Américains. Les carrières des starlettes du X plongent comme elles se sont envolées entre les mains des grands studios de l’archipel, qui produisent sans relâche et pour tous les goûts. Seule une infime partie de ce matériel pornographique parvient à tracer sa route jusqu’en Occident, ce qui est fort dommage : le Japon, ce n’est pas que des écolières souillées par des tentacules veineux et des présentatrices couvertes de sperme. Il était temps que quelqu’un, quelque part, fasse quelque chose.
Le nouveau son frais, le grand sauveur, c’est R18.com. Annoncé il y a peu de temps par le biais d’un blog éponyme, R18 compte bien changer la vie des amateurs occidentaux de porno japonais : les expéditions épuisantes sur des forums mal traduits et les torrents pourris, c’est fini. Le site, entièrement développé en Anglais, sera doté d’un moteur de recherche et d’un catalogue plus que conséquent. Le jour du lancement, 150 000 titres seront déjà disponibles et au 2 000 autres seront ajoutés chaque mois. On parle de films de deux, trois, voire même six heures. Sous nos latitudes, c’est du jamais vu.
Le généreux philanthrope qui se cache derrière R18 n’en est évidemment pas un. Le site a été développé par l’équipe de Digital Media Mart, un site de téléchargement et de streaming détenu par Hokuto Corporation, l’un des plus gros distributeurs japonais de matériel pornographique et de sex toys. En 2011, DMM.co.jp était le trentième site le plus visité de l’archipel. On trouvera aussi du hentai et des doujin sur R18. A court terme, tout le catalogue de DMM devrait y être disponible, enfin accessible au public occidental ; plus besoin de parler Japonais pour en profiter à fond. Une excellente nouvelle.
Avoir accès à plus d’ Akiho Yoshizawa, Ria Horisaki, Yui Hatano,…. sans passer par une myriade de torrent, est une très bonne nouvelle 🙂
Bonne nouvelle effectivement. Certains AV disposeront également de sous-titres (en anglais, fallait pas rêver).
On pouvait déjà acheter sur dmm. Une version anglaise du site était présente mais c’était de la traduction automatique.