Rebeca « Le Serpent » Linares
Quel bon fappeur n’a jamais croisé Rebeca Linares ? Depuis des années la belle espagnole affole les tubes, mais c’est désormais avec nostalgie qu’on regarde son délicieux naturel, ses seins étant malheureusement passés sur la table. M’enfin, une vidéo telle que celle-ci ne vieillira jamais, et nous lui devions bien un poème.
Ma Rebeca brindille au legging invisible
(Ainsi qu’un désir pieux)
Ou presque invisible (ainsi qu’un désir mieux !),
Ma Rebeca sautille
En un yoga timide ou presque : même
Un escalier s’incurverait
Devant ce cul rêvé qui brille.
Mais Rebeca gustative
A remarqué le bon désir bien visible
Inculquer – au chanceux que les yeux de
Ma Rebeca fulminent –
Inculquer lubrique qu’elle mérite
Sa sodo crue. Ça saute aux yeux de
Ma Rebeca qui glisse
Ainsi qu’un diurne désir, Rebe’ rieuse
Suce en rythme,
Ma Rebeca musique,
Avec sa tête un souvenir de transe ;
On dirait un serpent qui danse
Au bout d’un bâton,
Ma Rebeca mordille.
Et comme d’élastique elle est le synonyme,
Aussi rageuse que soupline,
Sceptre en main j’ai décidé de m’y mettre à (avec
Ma Rebeca) la gym !
ouais, me semble bien être déjà tombé sur cette vidéo, il y a quelques… années ?
Il y a fort longtemps oui
« La pornographie, c’est l’érotisme des autres. »
André Breton
Effectivement ses seins n’auraient jamais dû changer, ils étaient parfaits.
Cliquez sur la table.