Le porn la poésie : Alli Rae m’a sauvé

J’me baladais où l’web est nu
La flûte au vent
(Quoi qu’sans zikmu)
Quand soudain blonde aux yeux sang pur
(Pas bien mon style et pourtant l’ins-
tru ne ment jamais !), de la mollesse
Au lieu des eins,

Un regard à cramer.

Elle arrive, Alli Rae !
Et jouant de sa flûte les serpents fait danser,
Exploser les calbuts, son programme et
Moi j’ai voté !

J’m’étais paumé où l’web est cure
J’suis retrouvé !
Alli Rae mon amuuuur
M’a,
Comme un serpent tout dur,
Hiroshimé.

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